17 private links
The GUI for MongoDB. Visually explore your data. Run ad hoc queries in seconds. Interact with your data with full CRUD functionality. View and optimize your query performance. Available on Linux, Mac, or Windows. Compass empowers you to make smarter decisions about indexing, document validation, and more.
If you need to manage multiple projects within a single repository, you can use a subtree merge to handle all the references.
Typically, a subtree merge is used to contain a repository within a repository. The "subrepository" is stored in a folder of the main repository.
The best way to explain subtree merges is to show by example. We will:
Make an empty repository called test that represents our project
Merge another repository into it as a subtree called Spoon-Knife.
The test project will use that subproject as if it were part of the same repository.
Fetch updates from Spoon-Knife into our test project.
The thing computers can do best is storing information.
You shouldn't waste your time trying to remember and type your passwords.
KeePassXC can store your passwords safely and auto-type them into your everyday websites and applications.
Murray Bookchin, écologie ou barbarie
À la mort de Murray Bookchin, en 2006, le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a promis de fonder la première société qui établirait un confédéralisme démocratique inspiré des réflexions du théoricien de l’écologie sociale et du municipalisme libertaire. Une reconnaissance tardive pour ce militant américain auteur d’un projet égalitaire et humaniste.
Les principes et convictions de gauche explosent quand l’enfant entre en sixième. Contourner la carte scolaire devient la préoccupation de la rentrée.
The perl package now uses a versioned path for compiled modules. This means that modules built for a non-matching perl version will not be loaded any more and must be rebuilt.
A pacman hook warns about affected modules during the upgrade by showing output like this:
WARNING: '/usr/lib/perl5/vendor_perl' contains data from at least 143 packages which will NOT be used by the installed perl interpreter.
-> Run the following command to get a list of affected packages: pacman -Qqo '/usr/lib/perl5/vendor_perl'
You must rebuild all affected packages against the new perl package before you can use them again. The change also affects modules installed directly via CPAN. Rebuilding will also be necessary again with future major perl updates like 5.28 and 5.30.
Please note that rebuilding was already required for major updates prior to this change, however now perl will no longer try to load the modules and then fail in strange ways.
If the build system of some software does not detect the change automatically, you can use perl -V:vendorarch in your PKGBUILD to query perl for the correct path. There is also sitearch for software that is not packaged with pacman.
Flightradar24 is a global flight tracking service that provides you with real-time information about thousands of aircraft around the world. Our service is currently available online and for your iOS (iPhone, iPad, iPod Touch) or Android device.
Try this excellent solution:
jar xvf COCR2_100.zip
steps:
- drag and drop file into terminal window.
- use keyboard arrows to navigate to start of line in terminal
- type
jar xvf
in front of your file name, remembering to leave space before the start of your file name. - grab a beer and watch terminal work its magic as it extracts files.
The location of where the new files go varies, but usually best trick to find them is click on your computer name in Finder which should display most recent activity at top of all files.
If the jar
command is not available, you can install fastjar
by pasting the following in terminal:
sudo apt-get install fastjar
The Internationalist Communist Union is a current which bases itself on the heritage left successively, by Marx and Engels, Rosa Luxemburg, Lenin and Trotsky, through the ideas they fought for. The ICU considers that the capitalist organisation of human society belongs to its past, not to its future.
The Pub is Now Open, ActivityPub that is!
The (many) reasons why you could not have JS.
Je fréquentais des milieux “underground” à une époque. Un ensemble de métalleux-es, gothiques, nerds, autant de gens qui se mettaient volontairement dans une position de relative marginalité par rapport à la société. Ces groupes n’avaient ni ambition ni revendication politique, ils étaient constitués de fait par des gens partageant les mêmes hobbies et goûts. L’un des éléments marquants pour moi de ces milieux, c’est qu’il y avait toujours une sorte de code permettant de s’identifier. Un code qui n’avait pas de sens dans la société, parfaitement incompréhensible aux béotiens, mais qui permettait de s’identifier auprès des membres de la communauté. Par exemple “Moi je suis plutôt Debian Sage/KDE/vim”, ou encore “Je suis plutôt Viking/Thrash/Doom”.
Dans certains milieux féministes/queer, en ligne ou hors-ligne, j’ai l’impression que le genre et la sexualité deviennent de tels élément d’identification. D’une certaine manière, le genre n’a plus son sens politique de système d’oppression des femmes, qui écrase au passage les personnes trans par la fixité imposée de l’assignation genrée. Seul existe le genre compris comme identité, une identité qui, parce qu’elle n’est pas corrélée à une quelconque perception sociale, est validée par la seule autodéfinition de la personne. De la même façon, la sexualité de chacun-e n’est plus définie socialement, c’est-à-dire par sa conformité ou sa transgression de l’hétérosexualité obligatoire, mais par les préférences individuelles de chaque personne, en termes de genre, de caractéristiques sociales des partenaires ou du type de contact préféré (vanilla, kinky, BDSM, …). Du coup, genre et sexualité dans ces milieux deviennent de simples éléments d’identification, on dit par exemple “je suis agenre demiboi queer”. Ca ne correspond a priori à rien socialement puisque seule l’autodéfinition établit ces éléments, mais c’est une identité (qui je suis) autant qu’une identification (le code secret pour rentrer dans le milieu). Soit tu comprends ce que ça veut dire et tu peux faire partie du groupe, soit tu ne comprends pas et tu n’es pas invité-e à la soirée.
Alors c’est plutôt chouette, de se nommer et de s’identifier d’après son ressenti, et de se faire un petit groupe de gens « qui en sont ». Après tout, la société patriarcale nous incite fortement à taire nos ressentis au sujet de notre genre et de notre sexualité, au nom de l’hétérosexualité, de l’assignation sexuée et des rôles genrés qui en découlent. Le fait de pouvoir exprimer son ressenti à ce sujet, par exemple “je ne me reconnais pas dans les rôles genrés traditionnels” peut donner l’impression d’une libération personnelle. Est-ce aussi simple ?
Effectivement, il me semble qu’il y a bien une part de libération. Anecdote perso : au début de mes questionnements de genre, je me suis sentie libérée par l’affirmation de “je ne me reconnais pas dans ce qu’on attend socialement d’un homme” et me définissais donc non-binaire, c’était mon ressenti. Je ne suis pas la seule dans ce cas, je connais de nombreuses personnes qui ont commencé une réflexion sur leur genre par des affirmations similaires, que ces personnes aient fini par transitionner ou non. De la même façon, l’affirmation de “je ne suis pas intéressé-e par le sexe de type papa-dans-maman”, peut être libératrice. A partir de cette affirmation, on peut établir ses propres préférences, qu’elles entrent dans le cadre de l’hétérosexualité ou non. De même, rencontrer dans ces milieux d’autres personnes “hors-normes” est potentiellement salvateur étant donné que nous ne sommes finalement pas très nombreux-e-s, et les chances de nous rencontrer par hasard sont faibles.
Là où sa coince, c’est qu’il me semble que dans ces milieux chacun-e se retrouve artificiellement isolé-e dans son ressenti, parce qu’il ne peut être par nature qu’individuel. Mon ressenti n’est pas celui de ma voisine, parce que disons je suis une meuf trans et que elle se définit comme non-binaire transféminine. Nos ressentis sont différents, et cela donne artificiellement l’impression que nous ne nous ressemblons pas. Pourtant, si on regarde la façon dont nous sommes perçues socialement, elle est tout comme moi vue comme une femme ayant transitionné. En d’autres termes, notre positionnement social est le même toutes choses égales par ailleurs et il y a de fortes chances que nos vécus se rapprochent. Pour arriver à tisser réellement un lien entre nous (ma voisine et moi), nous devrions pouvoir parler de ce qui nous rapproche, dépasser le ressenti et le “je suis non-binaire. – Ha ben moi je suis une femme.” qui nous oppose.
Idéalement, les milieux militants féministes et queer devraient aider au développement de telles discussions et réflexions à partir de ces ressentis. L’affirmation d’une non-conformité de genre peut servir de base à une réflexion plus poussée, c’est à dire à la fois à une réflexion personnelle sur sa propre place dans la société, et à une réflexion plus globale sur le système de genre, c’est à dire en gros l’assignation à un sexe, les rôles genrés et l’oppression des femmes. De la même façon, ce serait splendide qu’on puisse réfléchir sur le cadre social de ses désirs sexuels.
Malheureusement, ça coince. J’ai l’impression qu’on se contente largement de donner un nom à telle ou telle expression d’un ressenti. De telle affirmation, on dit “ha ben tu dois être bigenre”, de telle autre “genderfluid” ou “agenre”, etc… etc… Ca marche aussi pour les sexualités, d’une affirmation “j’aime tel ou tel type/genre de personnes”, on dit “oh tu es bidulesexuel-le”. Et c’est comme ça, indiscutable. Tenter de creuser, de bâtir une réflexion à partir du ressenti, même en tant que la personne qui ressent, devient une sorte de tabou. On se croirait à Poudlard, tiens. Le choixpeau décide, “te voilà genderflux et sapiosexuel-le”, et ces catégories qu’on dirait créées par Dieu sont littéralement indiscutables.
A partir de là, faute d’autoriser une réflexion, on se retrouve plongé-e dans un monde de mots et d’analogies, où la sémantique n’a plus son mot à dire. Des idées venant d’ancien-ne-s féministes, militant-e-s trans et/ou LGB, etc.… sont coupées des réflexions qui les sous-tendent et, une fois dépouillées de leurs parties les plus complexes, deviennent des tables de la loi. Elles servent dès lors à construire le présent sous forme d’analogie, à partir du ressenti de la personne qui parle. Exemple : “Étant donné que les personnes trans souffrent de transphobie, si je m’auto-définis trans et qu’on me nie cette qualité, alors c’est de la transphobie puisque je souffre de ce déni”. Si on joue à un jeu de construction de mots, c’est sans doute vrai. Si on se paye le luxe d’une réflexion ancrée dans le concret, non. La transphobie a pour fonction sociale d’assurer la fixité de l’assignation sexuée et genrée en frappant les personnes qui transgressent cette prétendue fixité. Imaginons que socialement untel a été assigné homme à la naissance et qu’il soit lu comme homme sans ambiguité ni aucune intention de transitionner, il n’est pas en train de transgresser la fixité de l’assignation, quelle que soit son auto-définition. S’il s’auto-définit trans dans ce contexte là, cela ne change rien au fait qu’il ne vit pas de transphobie, puisqu’il ne transgresse absolument pas la fixité de l’assignation.
Free yourself from the chains of jQuery by embracing and understanding the modern Web API and discovering various directed libraries to help you fill in the gaps.
How much library code do you really need — 50K? 100K? 150K? More? How much of that do you really use?
Sure, we all love our favorite monolithic frameworks, and sometimes we even use them fully. But how often do we reach for the ride-on John Deere tractor with air conditioning and six-speaker sound system, when a judiciously applied pocketknife would do the trick better, faster, slicker?
Micro-frameworks are definitely the pocketknives of the JavaScript library world: short, sweet, to the point. And at 5k and under, micro-frameworks are very very portable. A micro-framework does one thing and one thing only — and does it well. No cruft, no featuritis, no feature creep, no excess anywhere.
Microjs.com helps you discover the most compact-but-powerful microframeworks, and makes it easy for you to pick one that’ll work for you.
More and more websites use like-buttons from Facebook, Google+ and Twitter. However, these buttons send information to these social networks even if the user doesn't click them, but even if they are just present on a webpage. This way these networks are able to track which websites users are visiting and are able to build fairly complete browser histories of their users. Because this is neither what a user might expect nor what many website operators that embed like-buttons want, this alternative way of using these social services was developed.
The concept is fairly easy. Per default only a gray mockup image of a like-button is embedded. Only if a user clicks this button the real like-button is loaded and information sent to the social network. With a second click the user can then like the webpage (or tweet it etc.).
All buttons can be permanently enabled.
The first click basically means that the user agrees that information is sent to the social network in question. But only for the page that embeds like-button and only for the selected social network. If the user visits the same page again the button is at first again deactivated. This way one can prevent, that social network owners can build complete surf profiles of their users.
If users don't care about their privacy and rather want the like-buttons to be always enabled they can do so in the settings menu, accessed via the gear icon. Per default this is done via cookies and on a domain basis, but this feature is extensible so that this information can be stored anywhere (e.g. via AJAX on a webserver or in the browsers HTML5 local storage).
Lecture par Denise Gence.
Toute cette semaine, Lectures d’enfance vous emmène dans le monde d’Oscar Wilde. L’écrivain irlandais, auteur du Portrait de Dorian Gray avait un goût particulier pour les contes. Il aimait écrire pour les enfants, leur raconter des histoires. Voici des histoires extraites du recueil Le Prince heureux publié en 1888.
Ces contes furent diffusés dans le cadre de « Histoires du pince-oreille ».